Adaptateur pour cartes à puce I2C :

Le schéma ci-dessus indique le brochage de la carte à puce : celle-ci comporte six contact, dont quatre ou cinq utilisés (WP, qui interdit l'écriture lorsqu'elle est mise à '1', n'est pas disponible sur la plupart des modèles de cartes). Le connecteur est un dispositif à huit contacts, ce qui suffit avec des puces à la norme ISO (centrée) ; il est relié à un support tulipe huit broches qui pourra être branché sur l'un des programmateurs (sur port série ou parallèle) ; la broche WP est mise à la masse, autorisant ainsi l'écriture ; il n'est pas indispensable de relier la broche 7 du support à la masse, mais cela améliore la tenue mécanique de l'ensemble, tous les fils arrivant d'un même côté. Le contact de fin de course du connecteur n'est pas utilisé. Comme vous le constaterez, je n'ai pas prévu de circuit imprimé, mais un simple morceau de plaque pastillée : il s'agit d'une réalisation 'express' faisable en moins d'une demi-heure. Libre à vous d'étudier un circuit un peu plus soigné, en prévoyant un bornier pour le contact, sachant que la disposition de ce dernier varie selon les modèles de connecteurs, et qu'il peut être 'normalement ouvert' ou 'normalement fermé'. Evitez les connecteurs trop bon marché, dont la qualité des contacts laisse parfois à désirer.

Détail du support
les broches 1 à 3 du support
ne sont pas connectées.
Détail du connecteur
la goutte de soudure sur le fil jaune sert
juste à le maintenir plaqué sur le circuit.

Voici une vue des cartes ZCM02 à ZCM256 ; elles sont vendues blanche, dépourvues de tout marquage, et vierges de toute donnée, tous les octets étant à $FF (les références ont été rajoutées sur la photo) :

Dernière modification : le 30/01/2001